Persos/Couples : Oswald Cobblepot/Edward Nygma, Ed/Isabella, un peu de Oswald/Jim, Jervis Tetch, Barbara Kean, Tabitha Galavan
Titre : Flowers grow out of my grave (grave, grave)
Auteur : CalicoKitten, traduite par Aconit
Fandom : Gotham (TV)
Statut : terminée
Nombre de mots : 2944
Rating : Not Rated (mais je dirais R pour scène de sexe non détaillée)
Langue : Français
Genres : Romance, Hurt/Comfort, Fix it
Résumé : Lorsque Ed l’appelle, la nourriture est froide et figée dans la plus belle vaisselle de son père et Oswald n’est pas en colère. C’est la vérité : il pourrait rester assis là toute la nuit et il aurait toujours l’impression que sa poitrine va exploser. Il se sentirait toujours léger, chaud et aimé.
— Ed ! Salut ! Es-tu déjà en route ? commence Oswald avec un sourire qui étire les coins de sa bouche sans vaciller. J’ai fait préparer le plus délicieux des…
Ed le coupe.
— Oswald, écoute, je suis vraiment désolé de te faire ça mais…
Il s’interrompt et Oswald jurerait – jurerait – entendre un rire dans le téléphone. Un rire doux et féminin.
Note: il s’agit d’une traduction de l’anglais. La fic originale est disponible ici.
Pourquoi vous devez absolument lire cette fic ? Par Andersandrew :
Alors, ça reprend l’intrigue à partir de l’épisode où Oswald s’apprête à faire sa déclaration (le 6ème de la 3ème saison), en modifiant des éléments qui 1) rendent Oswald moins abusif, 2) rendent Ed plus sympathique, 3) permettent de les mettre ensemble, ce qui comble aussi une frustration assez évidente par rapport à la série, qui a privilégié le drama à la romance.
J’aime vraiment BEAUCOUP comment les sentiments d’Oswald sont développés de sorte qu’il ne se comporte pas comme un connard, comme dans la série, ce qui est encore plus satisfaisait à la fin, avec le happy ending. Happy end qui est d’ailleurs tout à fait adorable et romantique.
Les petites scènes avec Jim, ou Barbara, sont aussi appréciables, même si elles sont courtes.
Extrait :
— Je crois que je suis amoureux, dit Ed lorsqu’Oswald a rassemblé une seconde fois le courage de tout lui avouer.
Jusque là, Ed est resté professionnel et a évité de parler d’Isabella au travail, en dehors de quelques allusions.
Oswald a l’impression de se faire heurter par un camion et ce qu’il allait dire se retrouve coincé dans sa gorge.
— Qu… Quoi ?
— Je sais, je sais, dit Ed, le visage rayonnant. C’est rapide mais tu sais ce qu’on dit, le cœur a ses raisons que la raison ignore.
— Ah ? répond faiblement Oswald.
— J’adorerais te la présenter, dit Ed. (Oswald l’a déjà rencontrée, confrontée et n’en a rien retiré). Alors, je l’ai invitée à dîner ce soir ! Ça ne te dérange pas ?
Oswald secoue la tête sans rien dire. Ed sourit et commence à réciter une liste d’endroits où Oswald doit se rendre aujourd’hui. Oswald aurait pensé qu’il serait en colère. Il était en colère après la mort de sa mère, furieux et perdu, mais là, il est juste vide et creux.
Points faibles :
Le rebondissement final, cousu de fil blanc et pas du tout crédible.
Fiche issue de : Rec Rec Rec.